blue skies research

Voir aussi : blue-skies research

Anglais modifier

Étymologie modifier

 Composé de blue, sky et research.
(1976)[1] Terme dérivé d’une explication de Julius Comroe qui expliquait comment les découvertes scientifiques surviennent en empruntant des chemins tortueux plutôt qu’en ayant des objectifs clairement établis. Le terme blue sky provient d’un exemple qu’il utilisa pour montrer l’importance de la curiosité et de la recherche fondamentale. Cet exemple était le travail de John Tyndall, un physicien britannique qui expliqua la couleur bleue du ciel, et l’impact que cette découverte eu dans d’autres domaines scientifiques éloignés.[1]

Locution nominale modifier

Singulier Pluriel
blue skies research
\ˈbluː ˌskaɪz ˈɹiː.sɜːt͡ʃ\
ou \ˈblu ˌskaɪz ˈɹɪ.sɝt͡ʃ\
blue skies researches
\ˈbluː ˌskaɪz ˈɹiː.sɜːt͡ʃ.ɪz\
ou \ˈblu ˌskaɪz ˈɹɪ.sɝt͡ʃ.ɪz\

blue skies research \ˈbluː ˌskaɪz ˈɹiː.sɜːt͡ʃ\ (Royaume-Uni) ou \ˈblu ˌskaɪz ˈɹɪ.sɝt͡ʃ\ (États-Unis)

  1. (Sciences) Recherche scientifique sans but précis, dont l’objectif est de découvrir de nouvelles choses par sérendipité.
    • The term blue skies research implies a freedom to carry out flexible, curiosity-driven research that leads to outcomes not envisaged at the outset. — (Belinda Linden, « Basic Blue Skies Research in the UK: Are we losing out? », ncbi.nlm.nih.gov, 29 février 2008 → lire en ligne)

Variantes orthographiques modifier

Variantes modifier

Synonymes modifier

Quasi-synonymes modifier

Voir aussi modifier

Références modifier