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L’éphémère et superbe revue des Seiz Breur, qui pourfend la désolante camelote des bretonneries pour touristes, cherche ses sources d’inspiration dans l’art populaire […]— (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, page 90)
il ne s’agissait pas d’aimer étourdiment tout ce qui se proclamait breton : les bretonneries exhibées aux murs et les niaiseries bretonnes chantées au dessert n’avaient pas droit à notre indulgence.— (Mona Ozouf, Composition française, Gallimard, 2009, collection Folio, page 153)