c’est pas faux

FrançaisModifier

ÉtymologieModifier

(Siècle à préciser) → voir faux
(sens 2) Cette phrase est régulièrement prononcée dans la série française Kaamelott, en particulier par le personnage de Perceval, pour donner le change lorsque son interlocuteur emploie des notions qui le dépassent ; son utilisation dans des situations les plus incongrues en a fait un gimmick représentant la série et l'a fait entrer dans le langage courant comme une plaisanterie récurrente.

Locution-phrase Modifier

c’est pas faux \s‿ɛ pɑ fo\ ou \s‿ɛ pa fo\

  1. (Populaire) (Familier) (Par litote) Variante de ce n’est pas faux.
    • C’est pas faux quoi ? — (Thomas Kilroy, Illusions comiques à l’Irlandaise, 1998)
  2. (Par plaisanterie) Utilisée pour se moquer d’une personne parlant de notions relativement complexes, en tournant en dérision ce qu’elle vient de dire.
    • Le tavernier : J’peux vous dire que tavernier, c’est pas une sinécure.
      Karadoc : Ouais, c’est pas faux.
      — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre I, 2005)
    • Pour ton code, là, c’est au niveau de l’analyse sémantique que ça plante, pas avant ! – C’est pas faux.

VariantesModifier

TraductionsModifier

PrononciationModifier