Français modifier

Étymologie modifier

(1779) Du kali’na caica, tel qu'attesté par Buffon, qui baptisa les deux premières espèces de caïques de la Guyane, maïpourri (caïque maïpourri) et caïca (caïque à tête noire). Cette forme était la seule répertoriée par les lexiques et dictionnaires jusqu'à la fin du XXe siècle.[1], i.e. celle que Buffon avait choisie dans son Histoire naturelle des oiseaux (Tome XXI, Oiseaux Livre VI) en 1779.[2].

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
caïca caïcas
\ka.i.kɑ\
 
C'est cette espèce de caïque (caïque à tête noire, Pyrilia caica) que le naturaliste Buffon avait baptisée du nom de caïca, qui devint le nom vernaculaire générique d'une vingtaine d'oiseaux similaires jusqu'à la fin du XXe siècle.

caïca \ka.i.kɑ\ masculin ou féminin (l’usage hésite)

  1. (Ornithologie) (Désuet) Variante de caïque, employée jusque vers la fin du XXe siècle.
    • Nous avons adopté pour la seconde espèce le mot de caïca de la langue galibi, qui est le nom des plus grosses perriches; elle ressemble à la précédente par toutes les singularités de la forme et par la calotte noire de la tête. — (Georges Louis Leclerc, comte de Buffon, Histoire naturelle de Buffon: Histoire des oiseaux, tome II, Hacquart, Paris, 1799, page 378).

Variantes modifier

Traductions modifier

Voir aussi modifier

  1. Cf. « Louis-Nicolas Bescherelle (dit Bescherelle aîné) », dans 1875, quinzième édition, en deux tomes, Dictionnaire national, ou dictionnaire universel de la langue française,  → consulter cet ouvrage, compléments du Dictionnaire de l'Académie française de 1836 et 1842), etc.
  2. Nous avons adopté pour la seconde espèce le mot de caïca de la langue galibi, qui est le nom des plus grosses perriches; elle ressemble à la précédente par toutes les singularités de la forme et par la calotte noire de la tête. — (Georges Louis Leclerc, comte de Buffon, Histoire naturelle de Buffon: Histoire des oiseaux, Tome II, Hacquart, Paris, 1799, page 378)