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Mais une coupe transversale dans la feuille de cette campylope nous permet de constater que la nervure occupe les deux tiers du limbe environ et est composée sur sa face ventrale d'une rangée de grandes cellules hyalines à parois minces, […].— (Le Naturaliste canadien, volume 81, Presses de l'Université Laval, 1954, page 92)
Gérard Dumé, Christian Gauberville, Dominique Mansion, Jean-Claude Rameau, Jacques Bardat, Éric Bruno, René Keller, Alain Lecointe et Jean Timbal, Flore forestière française — Plaines et collines, Institut pour le développement forestier, 2018, ISBN978-2-916525-47-1