collenchyme
Étymologie
modifier- (1837) Du grec ancien κόλλα, kólla (« glue »), de έκχυμα, enkhuma (« infusion ») et de χυμός, khumós (« jus »). Terme inventé par le médecin, botaniste et naturaliste allemand Heinrich Friedrich Link, désignant initialement la substance gluante sur l’orchidée Bletia[1].
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
collenchyme | collenchymes |
\kɔ.lɑ̃.ʃim\ |

collenchyme \kɔ.lɑ̃.ʃim\ masculin
- (Botanique) Tissu cellulaire de soutien, résistant et extensible, situé sous l’épiderme des végétaux, surtout jeunes.
Le collenchyme est formé par plusieurs couches de petites cellules encore cellulosiques aux parois épaissies, particulièrement aux angles. […] Le collenchyme est coloré en rose par le carmin aluné.
— (J. Marche-Marchad, Le Monde végétal en Afrique intertropicale, Paris : Éditions de l’École, 1965, page 217)
Dérivés
modifierTraductions
modifier- Allemand : Kollenchym (de)
- Anglais : collenchyma (en)
- Italien : collenchima (it) masculin
Références
modifier- ↑ Heinrich Friedrich Link, Grundlehren der Kräuterkunde, volume 2, Haude und Spener, 1837, page 198
Voir aussi
modifier- collenchyme sur l’encyclopédie Wikipédia