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Étymologie modifier

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Adjectif modifier

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
ellipsométrique ellipsométriques
\e.li.psɔ.me.tʁik\

ellipsométrique \e.li.psɔ.me.tʁik\ masculin et féminin identiques

  1. (Physique) Qui concerne l’ellipsométrie.
    • Dès 1937, Berek [Max Berek, „Optische Messmethoden im polarisierten Auflicht“, Fortschritte der Mineralogie, Kristallographie, und Petrographie, vol. 22, 1937, p. 1-104 et Max Berek, Optische Messmethoden im polarisierten Auflicht insonderheit zur Bestimmung der Erzmineralien, mit einer Theorie der Optik absorbierender Kristalle, Verlag der Deutschen Mineralogischen Gesellschaft, Berlin, 1937] indique la manière d’exploiter la méthode ellipsométrique dans l’étude des minéraux opaques en utilisant un microscope polarisant à réflexion et une platine théodolite ; il montre en outre que le polissage des sections minérales entraîne des erreurs sur les valeurs mesurées de n et de k, erreurs qui sont sensiblement réduites par l’adoption d’un angle d’incidence de 45°. — (Alphonse Beugnies, « Ellipsométrie par réflexion oblique de la lumière sur les sections polies des minéraux opaques et isotropes », Bulletin de la Classe des sciences, 5e série, vol. 53, no. 10, Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique, 1967, p. 1219–1234)
    • Nous avons testé plusieurs approches théoriques combinant l’effet ellipsométrique et le degré de recouvrement. […] Un bon accord est obtenu entre les valeurs observées et calculées avec la théorie macroscopique ellipsométrique et la théorie de Sivukhin (2e ordre). — (Colloques internationaux du Centre national de la recherche scientifique, CNRS, numéro 270, 1978)
  2. Définition manquante ou à compléter. (Ajouter)
    • Le cheptel bovin de Casamance appartient à l’espèce taurine rectiligne, médioligne, ellipsométrique, pourvue d’une tête courte, à fortes cornes, dont le tronc est généralement ample et trapu, avec une robe fauve, parfois tachée de blanc et de noir. — (Mémoires de l’Institut français d’Afrique noire, numéro 55, Institut français d’Afrique noire (IFAN), 1958)

Traductions modifier