festoiement
Français modifier
Étymologie modifier
- Du moyen français.
Nom commun modifier
festoiement \Prononciation ?\ masculin
- Festivité.
- Le festoiement à la faveur duquel Vautrin avait fait boire à Eugène et au père Goriot du vin narcotisé décida de la perte de cet homme, Bianchon, à moitié gris, oublia de questionner mademoiselle Michonneau sur Trompe-la-Mort. — (Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835)
- Ce repas de bienvenue offert à ses hôtes par le vieil Hochon explique combien les festoiements nocturnes chez la Cognette étaient nécessaires à l’alimentation de ces deux grands garçons bien endentés qui n’en manquaient pas un. — (Honoré de Balzac, La Rabouilleuse, Furne, Paris,1843)
Moyen français modifier
Étymologie modifier
Nom commun modifier
festoiement \Prononciation ?\ masculin
- Festivité.
- Et du festoiement et reception feurent bien contents le roy, l'empereur et les seigneurs. — (Juvénal des Ursins, Le Règne de Charles VI, 1614)
Références modifier
- « festoiement », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage