gonadoclaste
Étymologie
modifierAdjectif
modifierSingulier | Pluriel |
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gonadoclaste | gonadoclastes |
\ɡɔ.na.dɔ.klast\ |
gonadoclaste \ɡɔ.na.dɔ.klast\ masculin et féminin identiques
- (Ironique) (Argot) Qui casse les couilles.
Honni par le Talmud et le Coran, diabolisé par les chrétiens comme symbole de luxure et de gourmandise, le cochon est tout aussi triquard dans la société laïque, obligatoire, gonadoclaste et de surcroît xyloglotte.
— (Gérard Oberlé, Émilie, une aventure épistolaire, Éditions Grasset, 2012, chap. 17)
Variantes
modifierNom commun
modifierSingulier | Pluriel |
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gonadoclaste | gonadoclastes |
\ɡɔ.na.dɔ.klast\ |
gonadoclaste \ɡɔ.na.dɔ.klast\ masculin et féminin identiques
- (Ironique) Casse-couilles.
Je n’aime pas non plus les jeux massivement multijoueurs, parce que trop répétitifs et un peu trop peuplés de gonadoclastes. Ça n’empêche pas que ce sont des activités qui sont, de mon point de vue, une forme de jeu de rôle.
— (Stéphane Gallay, Dis, tonton Alias, c'est quoi un jeu de rôle ?, dans Chroniques d'Altaride, no 2 : juillet 2012, p. 8)Même des gonadoclastes reconnus comme la Fédération des hautes-terres ou le Haut-commandement karlan (ou le Cepmes, mais surtout parce quon ne le voit jamais) y sont parfois bien vus et même bienvenus.
— (« Qui a peur de la Dame de Fer ? C'est p’têt vous, c'est pas nous », dans Tigres Volants : La Bibliothèque tachyonique, vol. 2 : Maudits par la Dame de Fer, 2013, p. 37)
Prononciation
modifier- France (Vosges) : écouter « gonadoclaste [Prononciation ?] »