Français modifier

Étymologie modifier

Dérivé de hellène (« grec »), avec le suffixe -phone.

Adjectif modifier

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
hellénophone hellénophones
\ɛ.le.nɔ.fɔn\
ou \e.le.nɔ.fɔn\

hellénophone \ɛ.le.nɔ.fɔn\ ou \e.le.nɔ.fɔn\ masculin et féminin identiques

  1. Qui parle le grec.
    • Ingénieurs en télécoms hellénophone — il a étudié à Athènes —, Mohamed rallie la banlieue est via l’avenue Omar al-Moukhtar, que balisent de nombreux check-points. — (« En Libye, Tripoli revient à la vie », L’Express.fr, 26 aout 2011)
    • Mais fondamentalement, on serait tenté de dire que la référence au Québécois est nécessairement francophone, comme un Portugais est lusitanophone, comme un Italien est italophone, comme un Grec est hellénophone. — (Mathieu Bock-Côté, Écriture inclusive: les destructeurs de la langue française, Le Journal de Québec, 20 avril 2023)

Synonymes modifier

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
hellénophone hellénophones
\ɛ.le.nɔ.fɔn\
ou \e.le.nɔ.fɔn\

hellénophone \ɛ.le.nɔ.fɔn\ ou \e.le.nɔ.fɔn\ masculin et féminin identiques

  1. Personne parlant la langue grecque.
    • Si on analyse le contenu et le style d’écriture, on peut dire que l’auteur est un hellénophone qui n’a pas suivi le ministère de Jésus, mais s’est inspiré de traditions orales et probablement écrites. — (Sébastien Cataldo, Thibault Heimburger, Le linceul de Turin - Saint Suaire du Christ ou fausse relique ?, 2017)

Synonymes modifier

Apparentés étymologiques modifier

Traductions modifier