Français modifier

Étymologie modifier

(1891) Roche identifiée comme étant de l’éléolite syénite par Henrik Johan Holmberg dans des échantillons qu’il préleva près du mont Iiwaara, paroisse de Kuusamo, en Finlande, entre 1847 et 1850. Étudiée par Fredrik Johan Wiik en 1882, qui l’appela néphéline-syénite. Enfin, en 1891 Wilhelm Ramsay et Hugo Berghell l’ont redécrite et ont donné ce nom à la classe de roches, s’inspirant de la première syllabe de Iiwaara, Iijärvi (lac), Iijoki (fleuve), Ijo (paroisse), etc.[1]

Nom commun modifier

Singulier Pluriel
ijolite ijolites
\i.ʒɔ.lit\
 
Une ijolite.

ijolite \i.ʒɔ.lit\ féminin

  1. (Pétrographie) Roche plutonique rare composée essentiellement de néphéline et d’augite, d’une importance considérable du point de vue minéralogique.
    • Ce type pétrographique s’observe dans des roches, au milieu desquelles des feldspaths alcalins sont plus abondants que dans l’ijolite grenue. — (Alfred Lacroix, Matériaux pour la minéralogie de Madagascar : Les roches alcalines caractérisant la province pétrographique d’Ampasindava, Éditeur Masson, 1902)

Variantes orthographiques modifier

Hyperonymes modifier

Hyponymes modifier

Traductions modifier

Références modifier

  • [1] : Albert Johannsen, A Descriptive Petrography of the Igneous Rocks, volume IV (Part I - The Feldspathoid Rocks; Part II - The Peridotites and Perknites), University of Chicago Press, Chicago, 1938