kriek
Français modifier
Étymologie modifier
- Du néerlandais kriek.
Nom commun modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
kriek | krieks |
\kʁik\ |
kriek \kʁik\ féminin
- Bière belge aromatisée avec des cerises acides, produite dans la région de Bruxelles.
Se trouve-t-il, à proximité, une auberge où un seigneur de mon rang pourrait déguster un verre de kriek?
— (Willy Vandersteen, Le fantôme espagnol, 1956, réédition 2009 de Collection Bleue des éditions Standaard, Anvers, non paginée.)Le Pajottenland et la vallée de la Senne sont réputés pour le lambic, la gueuze et la kriek : trois bières à fermentation spontanée. Aucune levure n'est ajoutée au brassin.
— (Johan De Meester & Santina De Meester, La Belgique au fil des saisons, Éditions Lannoo, 2004, page 54)En Belgique on fabrique une kriek lambic, une bière à la cerise que l'on doit servir en flûte et non en bock (kriek est le nom de la cerise en flamand).
— (« Cerise » dans Des fruits et des graines comestibles du monde entier, par Nicole Tonelli & François Gallouin, Éditions Lavoisier, 2013, page 169)
Traductions modifier
Prononciation modifier
- (Région à préciser) : écouter « kriek [Prononciation ?] »
Références modifier
- « kriek », dans la Base de données lexicographiques panfrancophone (Belgique), AUF et TLFQ, 2001-2014 → consulter cet ouvrage
Voir aussi modifier
- kriek sur l’encyclopédie Wikipédia
Néerlandais modifier
Étymologie modifier
- Étymologie manquante ou incomplète. Si vous la connaissez, vous pouvez l’ajouter en cliquant ici.
Nom commun modifier
kriek
Synonymes modifier
- krekel (3)
Taux de reconnaissance modifier
- En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
- 98,8 % des Flamands,
- 90,2 % des Néerlandais.
Prononciation modifier
→ Prononciation manquante. (Ajouter)
- (Région à préciser) : écouter « kriek [Prononciation ?] »
Références modifier
- ↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]