Français modifier

Étymologie modifier

(verbe 1) Origine inconnue.
(verbe 2) De lope.

Verbe 1 modifier

loper \lo.pe\ intransitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Normandie) Cracher.

Notes modifier

Des attestations d’utilisation écrite ont été recherchées pour compléter cette page, mais aucune n’a été trouvée, bien que ce verbe soit mentionné dans les ouvrages cités en référence. Il se peut cependant que ce verbe ait été utilisé à l’oral ou dans un domaine spécialisé aux sources non accessibles aux contributeurs actuels.

Verbe 2 modifier

loper \lɔ.pe\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

  1. (Sexualité) Soumettre une personne à ses désirs, la contraindre dans une relation sexuelle du type dominant/dominé.
    • Je pense qu'il va vouloir t'obliger à regarder pendant qu'il va me loper. — (Jordan Béranger , La loi des deux, tome 1, Éd. Textes Gais, 2016)
    • Tout doucement, au fur et a mesure elle me lopait, elle faisait de moi son soumis. — (Histoire racontée sur un site de rencontres)

Anagrammes modifier

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Références modifier

  • Les thématiques Littré : Le vocabulaire du français de province, ouvrage collectif sous la direction de Claude Bluméditions Garnier, 2007.
  • René Lepelley, Paroles de Normands, éditions C. Corlet, 1995 (lexique final du livre).

Breton modifier

Forme de verbe modifier

loper \ˈlo.pːɛr\

  1. Impersonnel du présent de l’indicatif de lopañ/lopat/lopiñ.

Néerlandais modifier

Étymologie modifier

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Nom commun modifier

loper \Prononciation ?\ masculin

  1. Marcheur, coureur.
  2. Chemin de table.
  3. (Échecs) Fou (pièce utilisée aux échecs).
  4. Passe-partout (clef).

Synonymes modifier

coureur
chemin de table
passe-partout

Taux de reconnaissance modifier

En 2013, ce mot était reconnu par[1] :
  • 99,6 % des Flamands,
  • 99,4 % des Néerlandais.

Prononciation modifier

Références modifier

  1. Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]