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Sillon microscopique d'un disque microsillon que parcourt la tête de lecture d'un tourne-disque.
Les nouveaux disques «microsillon» n'exigent désormais que quelques casiers pour un même nombre d'œuvres enregistrées.— («Une symphonie de Beethoven sur un seul disque», Journal de Montreux, 19 avril 1950, p. 1.[1])
À une époque où les artistes de jazz apparaissent de plus en plus souvent sur scène, il peut sembler surprenant qu'il ait fallu attendre 1956 pour voir réalisé un microsillon contenant l'enregistrement d'un récital de Garner.— (Boris Vian, « Errol Garner … sur scène », dans Derrière la zizique, Paris : C. Bourgois, 1976, Le Livre de Poche, 2012)
Puis très rapidement, dès 48, survient le microsillon. Columbia et Capitol déposent respectivement les brevets du 33 tours de dix pouces (25 cm) et le 45 tours de 7 pouces (17 cm).— (Laurent de Wilde, Monk, 1996, collection Folio, page 203)
La durée du microsillon de gomme-laque (3 minutes) a imposé à la musique moderne sa brièveté harassante.— (Pascal Quignard, La haine de la musique, Gallimard, 1996, collection Folio, page 260)