niaisage
Français modifier
Étymologie modifier
Nom commun modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
niaisage | niaisages |
\njɛ.zaʒ\ |
niaisage \njɛ.zaʒ\ masculin
- (Québec) (Familier) Action de faire des niaiseries, de perdre son temps, de s’occuper de futilités.
- Exemple d’utilisation manquant. (Ajouter)
- (Québec) (Familier) Procrastination ou lenteur à faire les choses.
- Denis Monière s’en est pris aux «tergiversations», au «niaisage», au «tataouinage» entourant le projet d’indépendance du Québec au sein du Parti québécois (PQ) et de Québec solidaire. — (Marco Bélair-Cirino, Quatre candidats pour porter le flambeau de la souveraineté sur Le Devoir, 3 avril 2012)
- […] Je retiens surtout que le Wild a lancé un message clair à la LNH, c’est fini le niaisage pour cette organisation. L’auteur fait référence à le gestion de l’équipe auparavant médiocre. — (Norman Flynn, Terminé le niaisage pour le Wild sur RDS, 4 juillet 2012)
- (Québec) (Familier) Action de narguer.
- Par «niaisage de courtoisie», Jeffrey Sagor-Metellus fait référence à des remarques de mauvais goût que lui faisait habituellement Jean-Loup Lapointe. — (Brian Myles, Mort de Fredy Villanueva – Personne n’a touché l’agent Lapointe, dit Sagor-Metellus sur Le Devoir, 1er juin 2010)
- (Québec) (Familier) Tentative de déjouer ce que souhaite son interlocuteur.
- — On se rejoint à la maison. Pis pas de niaisage. — (Patrick Senécal, Hell.com, Éditions Alire, Québec, 2009, page 130)
Apparentés étymologiques modifier
Traductions modifier
Prononciation modifier
- France (Brétigny-sur-Orge) : écouter « niaisage [Prononciation ?] »
- Canada (Shawinigan) : écouter « niaisage [Prononciation ?] »
- Rawdon (Canada) : écouter « niaisage [Prononciation ?] »