proyer
Français modifier
Étymologie modifier
- (Nom 1) (1555)[1] De l’ancien français proier (« gardien de troupeau »)[2] ; comparer avec bergeronnette pour le sens. Plus avant dérivé du latin pratum (« pré »)[1].
- (Nom 2) En ancien français prouier[3], dérivé de proue, avec le suffixe -ier, littéralement « homme de proue ».
Nom commun 1 modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
proyer | proyers |
\pʁwa.je\ |
proyer \pʁwa.je\ masculin
- (Ornithologie) Bruant proyer.
- Les proyers arrivent en France dès les premiers jours du printemps.
- Les prairies, les luzernes, les avoines sont les lieux où se plaisent les proyers et où ils arrivent dans le mois de mars.
Synonymes modifier
Traductions modifier
- Conventions internationales : Emberiza calandra (wikispecies)
- Anglais : corn bunting (en)
- Arabe : أَكْحَل (ar), دُرُّسَة كَبيرَة (ar), قُمَيْحي (ar)
- Asturien : gurrión montés (ast), rayón (ast)
- Néerlandais : Grauwe gors (nl)
Nom commun 2 modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
proyer | proyers |
\pʁwa.je\ |
proyer \pʁwa.je\ masculin
- (Marine) Marin qui se tient à l’avant du navire.
- Bientôt les proyers se placent à l'avant, armés de longues perches, pour éviter les écueils.
Traductions modifier
Anagrammes modifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Références modifier
- « proyer », dans Émile Littré, Dictionnaire de la langue française, 1872–1877 → consulter cet ouvrage
- ↑ a et b « proyer », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage
- ↑ Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage (proier)
- ↑ Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage (prouier)