se faire un bleu
Français modifier
Étymologie modifier
Locution verbale modifier
se faire un bleu \Prononciation ?\
- Se faire une contusion bleutée sur la peau suite à un choc.
- La douleur ne se localisait pas au seul point d’impact, comme lorsqu’on se fait un bleu. Elle irradiait à travers tout le bassin et le long de la cuisse. — (Maurice Grosman, François Taillandier, N’habite plus à l’adresse indiquée, éditeur L’Archipel, 2009)
- Ça, c’est à papa comme le ciel au bon Dieu! Gogo-la-Gaieté les peint la semaine, Gogo-la-Gaieté les bat le lundi! Avec ça pas jaloux, pas méchant, pas cogneur, un vrai amour d’homme qui n’a jamais fait un bleu à une personne du sexe!. — (Edmond de Goncourt et Jules de Goncourt, Germinie Lacerteux, 1865)
Traductions modifier
Prononciation modifier
- France (Lyon) : écouter « se faire un bleu [Prononciation ?] »
Références modifier
- « bleu », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage