stronk

Breton

Étymologie

À rapprocher de trwnc « urine » en gallois.

Issu du celtique *(s)tronḱ-o-, nasale à degré plein qui remonte à l’indo-européen *(s)terḱ-, duquel procèdent le lituanien trąšà « fumier » et le norvégien trå « rance ».^[1]

→ voir troazh

Nom commun

stronk \ˈstrɔ̃ŋk\ féminin

Ordure, déchet, saleté.
Appât fait de poissons broyés.

Dérivés

Références

↑ Guus Kroonen, Etymological Dictionary of Proto-Germanic, Leyde, Brill, 2013, p. 544.

Néerlandais

Étymologie

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Nom commun

stronk \Prononciation ?\

Moignon, tronçon.

Synonymes

stomp

Taux de reconnaissance

En 2013, ce mot était reconnu par^[1] :

97,4 % des Flamands,
96,6 % des Néerlandais.

Prononciation

(Région à préciser) : écouter « stronk [Prononciation ?] »

Références

↑ Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]

[1] Guus Kroonen, Etymological Dictionary of Proto-Germanic, Leyde, Brill, 2013, p. 544.

[2] Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. → [lire en ligne]

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