visse

Français modifier

Forme de verbe 1 modifier

Voir la conjugaison du verbe visser
Indicatif	Présent	je visse

		il/elle/on visse



	Imparfait





	Passé simple





	Futur simple





Subjonctif	Présent	que je visse

		qu’il/elle/on visse



	Imparfait





Impératif	Présent	(2^e personne du singulier) visse

visse \vis\

Première personne du singulier de l’indicatif présent du verbe visser.
Troisième personne du singulier de l’indicatif présent du verbe visser.
Première personne du singulier du subjonctif présent du verbe visser.
Troisième personne du singulier du subjonctif présent du verbe visser.
Deuxième personne du singulier de l’impératif du verbe visser.

Forme de verbe 2 modifier

Voir la conjugaison du verbe voir
Subjonctif	Présent





	Imparfait	que je visse

visse \vis\

Première personne du singulier de l’imparfait du subjonctif du verbe voir.
- Toute la journée du lendemain se passa en effet sans que je visse mon pauvre ami. — (Comtesse de Ségur, Mémoires d’un âne, 1860)
- Une heure s’écoula sans que je les visse revenir ni l’un ni l’autre, et je commençais à m’inquiéter, quand Capi reparut seul, la tête basse. — (Hector Malot, Sans famille, Dentu E., 1887, pages 1-347)
- Elle exigea que je visse avec elle Lucien, mort, sur son lit funèbre. — (Octave Mirbeau, Contes et nouvelles – Veuve, réédition Arcadia, 2002, page 66)
- Ô petite âme, est-ce qu’il était possible que je vous visse sans que je vous aimasse ? — (Paul Claudel, L'Annonce faite à Marie, 1912, Prologue)
- Il dominait la plaine de quelques pieds à peine. Mais c’en était assez pour qu’avant même d’arriver à son sommet, je visse à trois mille à peine ce qui pouvait bien être le salut : la ligne des bois. — (Maurice Constantin-Weyer, Un homme se penche sur son passé, 1928, réédition Nelson, page 133)
- Bien que je le visse pour la première fois, je m’entends répondre :
  « C’est vrai, j’avais oublié. — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900, Fayard, 1987, Le Livre de Poche, page 375)
- Bien que je n’entendisse ni ne visse jamais de violon à l’hôtel, cet homme sans foi ni loi avait été jadis un violoniste aux dons prometteurs. — (René Belletto, Un ancien testament, nouvelle, supplément au magazine « Elle », page 6)