Δρυΐδης
Grec ancien modifier
Étymologie modifier
Nom commun modifier
Δρυΐδης, Dryḯdēs *\Prononciation ?\ masculin
- (Religion) Druide.
Τὸ τῆς φιλοσοφίας ἔργον ἔνιοί φασιν ἀπὸ βαρβάρων ἄρξαι. γεγενῆσθαι γὰρ παρὰ μὲν Πέρσαις Μάγους, παρὰ δὲ Βαβυλωνίοις ἢ Ἀσσυρίοις Χαλδαίους, καὶ γυμνοσοφιστὰς παρ’ Ἰνδοῖς, παρά τε Κελτοῖς καὶ Γαλάταις τοὺς καλουμένους Δρυΐδας καὶ Σεμνοθέους
— (Diogène Laërce, Vies et doctrines des philosophes de l’Antiquité)- Quelques auteurs prétendent que la philosophie a pris naissance chez les barbares : ainsi Aristote, dans le traité de la Magie, et Sotion, au vingt-troisième livre de la Succession des Philosophes, disent qu’elle fut cultivée chez les Perses par les mages, chez les Babyloniens ou les Assyriens par les chaldéens, dans l’Inde par les gymnosophistes, chez les Celtes et les Gaulois par ceux qu’on appelait druides et semnothées. — (traduction)
Vocabulaire apparenté par le sens modifier
Dérivés dans d’autres langues modifier
- Grec : δρυΐδης
Références modifier
- « Δρυΐδης », dans Henry Liddell, Robert Scott, A Greek-English lexicon, Clarendon Press, Oxford, 1940 → consulter cet ouvrage