Mane-Tekel-Pharès
Français modifier
Étymologie modifier
- L’expression apparaît dans le chapitre cinq du Livre de Daniel.
- Elle est écrite sur un mur par une main sortie du néant lors d’un banquet du roi Balthazar.
- Elle signifie approximativement « compté, compté, pesé et divisé ».
- Elle annonce la mort de Balthazar et la fin de son empire.
Nom commun modifier
Invariable |
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Mane-Tekel-Pharès \Prononciation ?\ |
Mane-Tekel-Pharès \Prononciation ?\ masculin
- Mauvais présage, formule de malédiction.
L’étonnement, la colère, la stupéfaction de Balthazar en apercevant le Mane-Tekel-Pharès ne saurait se comparer au froid courroux de Grandet qui, ne pensant plus à son neveu, le retrouvait logé au cœur et dans les calculs de sa fille
— (Balzac, Eugénie Grandet, 1834, Éditions Garnier Flammarion, 1964, page 85)
Variantes modifier
Traductions modifier
- Anglais : The writing on the Wall (en), handwriting on the Wall (en)
Voir aussi modifier
- Mane-Tekel-Pharès sur l’encyclopédie Wikipédia