« abécédaire » : différence entre les versions
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#* ''C’est une loi d’état parmi nous en vigueur,<br>Qu’un homme sans génie a le droit d’être Auteur ;<br>Que maçonnant sans art un livre '''abécédaire''',<br>Il peut impunément ruiner un Libraire.'' {{source|[[w:Guyédant|Guyédant]], dans M. Fréron, ''L’Année littéraire'', tome 1, pages 176-177, 1781, Mérigot}}
# {{figuré|fr}} {{vieilli|fr}} Qui apprend l’[[abécé]], à tracer les lettres et les chiffres.
#* ''En conséquence, il sera incessamment procédé à la nomination ou élection d’un précepteur pour instruire gratuitement et sans salaire les jeunes enfants '''abécédaires''' de la ville et faubourgs.'' {{source|Archives du Puy-de-dôme dans Pierre Cubizolles, ''Auzon : ville royale fortifiée : une des treize "bonnes villes"
# {{par extension}} {{vieilli|fr}} Qui n’a fait aucune [[étude]], qui est d’une [[ignorance]] complète.
#* ''Comme pour payer son écot, il fait enseigner leur jeunesse non-seulement par ceux des nôtres qui l’accompagnaient et les religieuses qui s’étaient réfugiées au même lieu ; mais lui-même, tout cassé qu’il est, va tous les jours aux écoles et prend pour sa part les '''abécédaires''' et plus idiots comme les plus pénibles et fâcheux.'' {{source|{{w|Bedel}}, citation en note dans ''Le Correspondant : religion, philosophie, politique, …'', page 872, 1846}}
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