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Dans le langage parlé, variante déformée pour maman.
Pas d’hésitation, c’est bien la sienne, il y a, fixée au-dessus du lit, une photo qui le représente aux côtés de sa bonne vieille moman.— (Frédéric Dard (San-Antonio), Le Secret de Polichinelle, Fleuve Noir, 1958, page 145)
Elle est pleine de trous, la route Qui nous sépare Des bras d’une moman.— (Robert Gurik, La baie des Jacques, 1978)
Tellement agaçante en plus la maîtresse à susurrer « votre mââman », chez moi et dans tout le quartier, on disait « moman ». Grosse différence. Ce mââman-là s’applique à d’autres mères que la mienne.— (Annie Ernaux, La femme gelée, 1981, réédition Quarto Gallimard, page 357)
Moman est là, chantait le regretté Sylvain Lelièvre. « Apporte-moi don’ une bière / Viens don’ voir mes devoirs Oublie don’ pas de r’coudre / Les boutons d’mon manteau Pourrais-tu faire les comptes/ Pis mon rapport d’impôt Ben sûr, moman est là. » Au Québec, moman, c’est l’État.— (Richard Martineau, La « gouvernementite » systémique, Le Journal de Québec, 7 novembre 2021)
Charles Ménière, Glossaire angevin étymologique comparé avec différents dialectes, Lachèse et Dolbeau, Angers, 1881, page 191 à 562, p. 203 → [version en ligne]
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