Discussion:demi-penny

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    • Il causait parfois avec beaucoup de sens ; mais, en général, il était fou des enfants, qu’il avait l’habitude d’appeler de petits hommes sans malice. J’appris qu’il n’était bruit que de son talent à leur chanter des ballades, à leur conter des histoires ; rarement il sortait sans avoir pour eux quelque chose dans sa poche, un morceau de pain d’épice, ou un sifflet d’un demi-penny. — (Goldsmith, Le Vicaire de Wakefield, traduit de l’anglais par Charles Nodier, édition Hetzel, 1844 ; voir dans Wikisource s:Le Vicaire de Wakefield/Chapitre 6 pour le chapitre et s:Page:Goldsmith - Le Vicaire.djvu/63 pour la page 33)
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