(...) Dann lässt er sich von seinem Fahrer zu einem Talib chauffieren, den die Amerikaner angeblich mal im Visier hatten, und ballert mit dem Sturmgewehr ins Geröll - bis sein Ohr schmerzt. Der bärtige Talib, der sich das Schauspiel anschaut, grinst, ermahnt ihn, vorsichtig mit der Waffe zu hantieren. Sie schütteln sich die Hände.— (Tobias Matern, « Gefahrentourismus:"Yo, Jungs, ich bin vom afghanischen Geheimdienst geschnappt worden" », dans Süddeutsche Zeitung, 5 juin 2023 [texte intégral])
Il se fait ensuite conduire par son chauffeur jusqu'à un talib que les Américains auraient autrefois pris pour cible, et tire dans les éboulis avec son fusil d'assaut - jusqu'à ce que son oreille lui fasse mal. Le talib barbu qui assiste au spectacle sourit, l’exhorte à manipuler l’arme avec précaution. Ils se serrent la main.