Modèle:note-sentiment

On trouve aisément des formations du type sentiment de + adjectif tout comme des formations du type sentiment de + nom. Par exemple, l’usage dit plutôt sentiment de solitude que sentiment de seul tandis que l’on dit aussi bien sentiment d’inachevé que sentiment d’inachèvement. Cette construction se retrouve aussi dans les formations du type impression de ou allure de.

info Documentation du modèle


Usage modifier

Le modèle {{note-sentiment}} sert à créer une note dans la page d’un adjectif précisant que l’adjectif en question peut être lié via la préposition de à des termes du domaine des sentiments tels que sentiment, allure, impression, etc.
L’intérêt de cette note est que cette formation n’est pas toujours possible : par exemple, on dit un sentiment de solitude mais pas un sentiment de seul.

Syntaxe modifier

===== {{S|note}} =====
: {{note-sentiment}}

donnera

Notes modifier
On trouve aisément des formations du type sentiment de + adjectif tout comme des formations du type sentiment de + nom. Par exemple, l’usage dit plutôt sentiment de solitude que sentiment de seul tandis que l’on dit aussi bien sentiment d’inachevé que sentiment d’inachèvement. Cette construction se retrouve aussi dans les formations du type impression de ou allure de.

Exemples modifier

===== {{S|note}} =====
: {{note-sentiment}}
: En voici un exemple de Georges Simenon :
:* ''Elle s’efforçait de se rendormir, de ne plus penser, mais, quand elle ne pensait pas, elle gardait le même sentiment
d’'''irrémédiable'''.'' {{source|{{w|Georges Simenon}}, ''{{w|Betty (film, 1992)|Betty}}'', Presses de la Cité, 1961, ch. 5}}

donnera

Notes modifier
On trouve aisément des formations du type sentiment de + adjectif tout comme des formations du type sentiment de + nom. Par exemple, l’usage dit plutôt sentiment de solitude que sentiment de seul tandis que l’on dit aussi bien sentiment d’inachevé que sentiment d’inachèvement. Cette construction se retrouve aussi dans les formations du type impression de ou allure de.
En voici un exemple de Georges Simenon :
  • Elle s’efforçait de se rendormir, de ne plus penser, mais, quand elle ne pensait pas, elle gardait le même sentiment d’irrémédiable. — (Georges Simenon, Betty, Presses de la Cité, 1961, ch. 5)