Français modifier

Étymologie modifier

(Date à préciser) Sigle de prisonnier de guerre.

Nom commun modifier

Invariable
P.G.
\pe.ʒe\

P.G. \pe.ʒe\ masculin

  1. (Militaire) Prisonnier de guerre.
    • Le jour dit, il se trouvait sur la liste que présentait le sous-off. français responsable de la sortie des corvées qui « hors des rangs » de la colonne présentait sa feuille pour être tamponnée par le sous-off. allemand du service de garde qui comptait et recomptait la colonne, soit 50 à 60 P.G. suivant les jours, puis signait la liste. — (André Courvoisier, Le Réseau Heckler : De Lyon à Londres, France-Empire, Paris, 1984, page 74)
    • D’abord, ce n’est pas un K.G., comme vous semblez le comprendre. Mais un P.G., et même un W.P. Un ancien prisonnier de guerre boche. — (Maurice-Charles Renard, L’Inconnu des îles, Librairie des Champs-Élysées, 1954, chapitre XII)
    • Ceci est à rapprocher d’une tentative de meurtre, commise sur un P.G. par d’autres P.G., la nuit du 15 au 16 octobre. — (Philippe Sunou, Les prisonniers de guerre allemands en Belgique et la bataille du charbon, 1945-1947, 1980, page 156)

Traductions modifier

Anagrammes modifier

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