« ti-cul » : différence entre les versions

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# {{Québec|fr}} {{familier|fr}} Petit enfant. {{note}} Peut avoir une connotation tantôt affective, tantôt méprisante, mais est le plus souvent utilisé de manière plutôt neutre.
#* ''À cette époque-là, j'étais encore rien qu’un '''ti-cul'''.''
#* ''« Lettre à mon '''ti-cul''' », texte écrit par [[{{w:Pierre Falardeau|Pierre Falardeau]]}} pour son fils.''
#* ''Dans la cour, quand le temps est au beau, on peut ramasser tous les '''ti-culs''' du coin et organiser un après-midi de drapeau, de [[cachette]], de cow-boys ou de [[ballon-chasseur]]…'' {{source|[[w:Le Devoir|''Le Devoir'']], 11-12 décembre 2004}}
#* ''Un '''ti-cul''', déguisé en cow-boy, active une mitraillette en plastique. Le sourire coquin.'' {{source|[[w:Le Devoir|''Le Devoir'']], 15-16 novembre 2003}}
#* '''''Ti-cul''' si tu t’en souviens<br>Quand t'étais '''ti-cul''' t'étais bien […]<br>Si tu t’en souviens pas<br>C'est qu’t'es pus '''ti-cul''' mon gars.'' {{source|''Ti-Cul'', chanson d'[[{{w:Edgar Bori|Edgar Bori]]}}}}
# {{par ext}} Surnom plutôt dévalorisant.
#* ''La sociolinguistique devrait étudier l’extraordinaire destin québécois du mot « p'tit », avec ou sans apostrophe. […] Et on n’a pas encore exploré la variante « ti », que le Québec partage avec les pays créoles. […] Et il y a l’inventaire des '''Ti-Cul''', Ti-Jean, Ti-Loup, Ti-Père, Ti-Coune et alii, nés pour un « p'tit pain », rêvant d’ouvrir un « p'tit restaurant », disait la chanson.'' — (Jean Paré, [[w:L’actualité|''L'actualité'']], 15 décembre 2005)
#* ''Je suis chômeur de mon état<br/>Je m’appelle '''Ti-Cul''' Lachance<br/>Pogné, marié, trois filles deux garçons<br/>Merci pour l’assistance.''<br/>{{source|''Ti-Cul Lachance'', chanson de [[{{w:Gilles Vigneault|Gilles Vigneault]]}}}}
#* ''Déjà tout petit, il se faisait mettre à l’écart parce qu’il n’osait jamais. '''Ti-Cul''' LaTrouille avait peur de la forêt et de la ville.'' {{source|Blogue ''Tous les chemins mènent ailleurs'', 1<sup>er</sup> mai 2005}}