« cour des Miracles » : différence entre les versions

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#* ''Un soir, au moment où le couvre-feu sonnait à tous les beffrois de Paris, les sergents du guet, s'il leur eût été donné d'entrer dans la redoutable '''cour des Miracles''', auraient pu remarquer qu'il se faisait dans la taverne des truands […].'' {{source|{{w|Victor Hugo}}, ''Notre-Dame de Paris'', page 219, Eugène Hugues à Paris, 1832}}
#* ''En plus, son papa, qui a parfois des idées saugrenues, lui raconte l'histoire de la '''cour des Miracles''', le repaire au Moyen Age de tous les voleurs, tire-laine et autres bandits qui infestaient la ville de Paris.'' {{source|Alain Chennevière, ''La cour des Miracles'', Magnard, 2002}}
# {{figurépar extension|fr}} [[endroit|Endroit]] où se trouvent des [[personne]]s [[pauvre]]s ou [[marginal]]es.
# {{figuré|fr}} Endroit occupé par des personnes plus ou moins marginales ou hors-la-loi, ou des saltimbanques...
#* ''Elle aurait voulu pouvoir détruire la place tout entière avec ses charmeurs de serpents, ses joueurs de vielle, ses brigands, ses faiseurs de tours, véritable '''cour des miracles'''.'' {{source|Marguerite-Marie Rose, ''Contes des royaumes oubliés''}}
#* ''«Les enquêteurs ont pénétré dans une véritable '''cour des miracles''' de la confection (...) où se côtoyaient, dans un fourmillement structuré, des dizaines de personnes employées au milieu de machines à coudre et de milliers de vêtements», a indiqué la police.'' {{source|Marc Pivois, ''La police démantèle «une cour des Miracles de la confection» à Garges'', 12 avril 1996 sur le site libération.fr}}
 
==== {{S|variantes orthographiques}} ====