« pontife » : différence entre les versions

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#* ''Jules II, d'un naturel violent et emporté, réussit dans toutes ses entreprises, sans doute parce que les circonstances dans lesquelles ce '''pontife''' gouvernait l'Église demandait un prince de ce caractère.'' {{source|{{w|Machiavel}}, ''[[w:Le prince|Le prince]]'' - traduit par Guiraudet-}}
#* ''Enfin le prince mongol résolut d'inviter le suprême '''pontife''', le grand lama, Bouddha en personne, à se rendre dans ses états.'' {{source|{{w|Jean-Jacques Ampère}}, ''[[s:La Chine et les travaux d’Abel Rémusat|La Chine et les travaux d'Abel Rémusat]]'', Revue des Deux Mondes, 1832, tome 8}}
#* ''Ils célébrèrent le 20 prairial (8 juin) lela fête de l’Être suprême. Robespierre, président de la Convention, servit de '''pontife''' à cette fête.'' {{source|{{Citation/Alfred Barbou/Les Trois Républiques françaises/1879}}}}
#* ''Voilà le cardinal de Noailles et l'engeance quenelliste écrasés sous les pieds du plus grand '''pontife''' qui ait paru sur la chaire de Rome.'' {{source|Abbé Wladimir Guettée, ''Histoire de l'église de France'', t.11, Paris, Jules Renouard & C{{e|ie}}, 1856, p.279}}
# {{term|Dans le [[style]] [[oratoire]] ou [[poétique]]}} Tout [[ecclésiastique]], sans [[égard]] à son [[rang]] dans la [[hiérarchie]] [[général]]e.