Latin modifier

Étymologie modifier

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Mot gaulois.

Nom commun modifier

Cas Singulier Pluriel
Nominatif eglecopală eglecopalae
Vocatif eglecopală eglecopalae
Accusatif eglecopalăm eglecopalās
Génitif eglecopalae eglecopalārŭm
Datif eglecopalae eglecopalīs
Ablatif eglecopalā eglecopalīs

eglecopala \Prononciation ?\ féminin

  1. (Géologie) Marne colombine.
    • tertium genus candidae glisomargam vocant. est autem creta fullonia mixta pingui terra, pabuli quam frugum fertilior, ita ut messe sublata ante sementem alteram laetissimum secetur. dum fruges, nullum aliud gramen emittit. durat XXX annis. densior iusto Signini modo strangulat solum. columbinam Galliae suo nomine eglecopalam appellant. glaebis excitatur lapidum modo, sole et gelatione ita solvitur, ut tenuissimas bratteas faciat. haec ex aequo fertilis. — (Pline, Naturalis Historia, livre XVII, 8)
      La troisième espèce de marne blanche se nomme glissomarga ; c'est une craie à foulon, mêlée de terre grasse : elle vaut mieux pour les fourrages que pour les champs à blé; de telle façon que, la moisson étant enlevée, on a, avant les semailles de la suivante, une très grande quantité de fourrages. Tant qu'elle est couverte de blé, elle ne permet à aucune autre herbe de pousser; l'effet en dure trente ans : si on en met trop, elle étouffe le sol comme le ferait le ciment de Sigulum. Les Gaulois donnent à la marne colombine, dans leur langue, le nom d'églécopala; on la tire par blocs comme la pierre ; le soleil et la gelée la dissolvent tellement, quelle se fend en lamelles très minces ; elle est aussi bonne pour le blé que pour le fourrage. traduction

Références modifier

  • « eglecopala », dans Charlton T. Lewis et Charles Short, A Latin Dictionary, Clarendon Press, Oxford, 1879 → consulter cet ouvrage