gratiole
Français modifier
Étymologie modifier
- (XVIe siècle) De l’italien graziola diminutif de grazia, du latin gratia (« grâce »), à cause de ses vertus bénéfiques[1].
Nom commun modifier
Singulier | Pluriel |
---|---|
gratiole | gratioles |
\ɡʁa.sjɔl\ |
gratiole \ɡʁa.sjɔl\ féminin
- (Botanique) Plante de la famille des Plantaginacées poussant en terrain humide.
- Attirée par un endroit d’herbe sèche exposé au soleil, Ayla flaira une fragrance aromatique et chercha la plante qui devait y pousser : la gratiole. — (Jean M. Auel, Le Pays des Grottes Sacrées, 2011)
- (En particulier) La gratiole officinale, plante médicinale toxique aux propriétés émétiques et purgatives.
- Les plantes vomitives sont : la gratiole, les pignons d'Inde, le ricin, le médicinier d'Espagne, le tithymale, la thymélée, la digitale, l'ellébore blanc, le suc des feuilles de violettes, les feuilles de cabaret, les baies de nielle, celles de houx. — (Dictionnaire botanique et pharmaceutique, 1817)
Synonymes modifier
Traductions modifier
- Conventions internationales : Gratiola officinalis (wikispecies)
- Allemand : Gottes-Gnadenkraut (de) neutre
- Anglais : gratiole (en), common hedgehyssop (en), herb of grace (en)
- Catalan : herba del pobre home (ca) féminin
- Danois : lægenådesurt (da)
- Espagnol : gracíola (es) féminin, hierba de la fiebre (es) féminin
- Finnois : rohtokuntio (fi)
- Hongrois : csikorgófű (hu)
- Italien : gratiola (it)
- Lituanien : vaistinė raitinytė (lt)
- Néerlandais : genadekruid (nl)
- Polonais : konitrut błotny (pl)
- Portugais : cinifólio (pt), erva-do-pobre (pt) féminin, gracíola-das-boticas (pt) féminin
- Serbo-croate : proljevak (sh)
- Slovaque : graciola lekárska (sk)
- Suédois : jordgalla (sv)
- Tchèque : konitrud lékařský (cs)
Prononciation modifier
- Somain (France) : écouter « gratiole [Prononciation ?] »
Homophones modifier
Anagrammes modifier
→ Modifier la liste d’anagrammes
Voir aussi modifier
- Gratiola officinalis sur l’encyclopédie Wikipédia
Références modifier
- ↑ « gratiole », dans TLFi, Le Trésor de la langue française informatisé, 1971–1994 → consulter cet ouvrage