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Disons en passant que Wallich a été mal inspiré quand il nomma ce beau Pin pleureur Pinus excelsa, alors que Lamarck, DeCandolle, Lambert avaient déjà donné ce nom au Pinus Àbies de Linné.— (Joseph Decaisne, Charles-Antoine Lemaire, Louis Van Houtte, Flore des serres et des jardins de l’Europe, Journal général d’horticulture, 1857)
A la solennité sérieuse des pins, dont quelques-uns sont pins parasols et pins pleureurs, se mêle la note gaie, l’élégance fine des bouleaux.— (Société d’archéologie, de littérature, sciences et arts d’Avranches, Mortain, Granville, Revue de l’Avranchin et du pays de Granville - Volume 3, 1886)
