séquestreur
Étymologie
modifier- Dérivé de séquestrer, avec le suffixe -eur.
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
séquestreur | séquestreurs |
\se.kɛs.tʁœʁ\ |
séquestreur \se.kɛs.tʁœʁ\ masculin (pour une femme, on peut dire : séquestrice, séquestreuse)
- Séquestrateur.
La Miséricorde ? Avec dans ses murs un séquestreur, un violeur, un loueur de fille ? Pas question.
— (Fred Vargas, Quand sort la recluse, Flammarion, Paris, 2017)
Notes
modifier- La forme féminine séquestreuse est extrêmement rare.
- Il s’agit d’un cas qui peut tout simplement se ranger parmi ceux que Gide se prit d’intérêt à analyser dans les années 1930 et que Thea Sternheim connaissait, elle qui parle, dans sa lettre du 2 mars 1933 à Gide, de la « séquestreuse » de Poitiers (Lettre 40), c’est-à-dire de l’affaire examinée et racontée par Gide dans l’ouvrage paru en 1930, et qui reviendra en 1939 (Lettre 66) sur l’histoire du « fond Malampia » qui se trouve au centre du récit abordant le drame de la séquestrée de Poitiers. — (André Gide, Thea Sternheim, Correspondance : 1927–1950, Centre d’études gidiennes, Université Lyon II, 1986)
Apparentés étymologiques
modifierTraductions
modifiervoir séquestrateur
Prononciation
modifier- France (Saint-Maurice-de-Beynost) : écouter « séquestreur [se.kɛs.tʁœʁ] »
- France (Toulouse) : écouter « séquestreur [se.kɛs.tʁœʁ] »
- France : écouter « séquestreur [se.kɛs.tʁœʁ] »
Références
modifier- Reverso (dictionnaire.reverso.net), Synapse, Softissimo, 2007 → consulter cet ouvrage