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— L’acétate d’aniline, oui, un brave poison, mais lent, insensible… pas comme la morphine. La morphine, c’est la belle ivresse…la souffrance qui s’éloigne à grandes enjambées… pompeusement… solennellement, comme un suisse d’église frappant de la hallebarde… — (J.-H. Rosny aîné, Le Termite, roman de mœurs littéraires, édition de 1890, livre I, chapitre VI, page 101 ; page procurée par Wikisource : s:Page:Rosny - Le Termite, 1890.djvu/107.)