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Mais attention ! il y a trempusse et trempusse ! Il y a la trempusse pour « rebailler des forces ».— (Henri Vincenot, La Vie quotidienne des paysans bourguignons au temps de Lamartine, Hachette, 1976, page 137)
Mes vieux et mes vieilles avaient tous moissonné à la grande faucille, et la plupart se soutenait encore chaque jour d’un bon bol de trempusse au ratafia, dont je me repentirais de ne pas donner ici la recette : verser un quart de litre de ratafia dans un bol, y tremper de grosses mouillettes de pain frais ou rassis selon les goûts et manger les mouillettes.— (Henri Vincenot, La Billebaude, 1978, pages 60-61)