« cauchemard » : différence entre les versions

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#* ''Mon vieux roi ! votre sommeil était pénible; le temps et l'adversité, lourds '''cauchemards''', étaient assis sur votre poitrine.'' {{source|{{w|Alfred Nettement}}, ''Henri de France: ou Histoire des Bourbons de la branche ainée pendant quinze ans d'exil 1830-1845'', Paris : chez De Signy & Dubey, 1845, p. 341}}
#* ''Il s'établit une idolâtrie d'un nouveau genre , l'idolâtrie de l'imagination agenouillée devant ses '''cauchemards''', et chaque journée a son fétiche littéraire à la manière des sauvages, qui prennent pour Dieu, chaque matin, le premier objet qu'ils rencontrent au sortir de leur hutte.'' {{source|{{w|Alfred Nettement}}, ''Introduction : « De l'origine et de l'étendue du désordre littéraire »'', des ''Études critiques sur le feuilleton-roman'', Paris : Librairie Perrodil, 1845, p. 43}}
#* ''Ce '''cauchemard''' le frappa tellement que plus tard il l’a écrit.'' {{source|1={{w|Victor Hugo}}, ''{{w|Les Misérables}}'', 1862, partie I « Fantine », livre 7 « L'affaire Champmathieu », chap. IV « Formes que prend la souffrance pendant le sommeil », éd. Charles Lassalle, New York, 1862, vol. 1<!--1 pas 5 (erreur Google)-->, p. [http://books.google.fr/books?id=GWtNAAAAYAAJ&output=html&q=cauchemard&pg=PA123 123] via {{w|Google Livres}}}} {{attention|}} Cette orthographe n’apparaît cependant pas dans les éditions principales des Misérables (intégrale 1908; Pléiade 1951) qui donnent « cauchemar ».
#* ''Dans le narcotisme, le sommeil tient de l'ivresse , il est tantôt torpide, tantôt agité, bruyant, pénible, troublé par des '''cauchemards''' ; l'encéphale est hypérémié , le faciès vultueux, congestionné ; […].'' {{source|Armand de Fleury, ''Leçons de thérapeutique générale et de pharmacodynamie'', Paris : chez Veuve Adrien Delahaye & Cie, 1875, p 351}}
#* ''La nuit, les '''cauchemards '''reparaissent et, dans l'espace de quatre à cinq mois, le malade tombe à 59 kg. 500.'' {{source|''Bulletin général de thérapeutique médicale, chirurgicale, obstétricale et pharmaceutique'', vol. 145, éd. G. Doin & Cie, 1903, page 542}}