Alrune
Étymologie
modifier- De l’allemand Alraune (« mandragore »), en suédois alruna, ces statuettes étaient taillées dans des racines de mandragore. L’association sémantique avec rune, runique est probablement fortuit ou forcé, en relation avec le côté incompréhensible, incantatoire et « magique », des runes.
Nom commun
modifierSingulier | Pluriel |
---|---|
Alrune | Alrunes |
\al.ʁyn\ |
Alrune \al.ʁyn\ féminin
- (Histoire) Petites statues, espèces de poupées couvertes de caractères runiques.
ALRUNES ou RUNES, étaient dans la mythologie Scandinave de petites idoles de bois, qui remplissaient les fonctions de Pénates ou de Lares, c'est-à-dire de génies protecteurs domestiques.
— (Biographie universelle, ancienne et moderne, vol. 53)Les homoncules magiques (petites « poupées » ou « marionnettes » à forme humaine utilisées pour des buts magiques ou sacrés) connus sous le nom d'Alrune (allemand alraune)** sont conçus avec les racines de ces herbes.
— (Nigel Pennick, Runes et magie: histoire et pratique des anciennes traditions runiques, Numéro 130, Editions L'Originel, 1995)
Traductions
modifierAnagrammes
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Voir aussi
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