Modèle:Entrée du jour/2023/11/24

kabbale — Nom commun féminin (orthographe traditionnelle) \ka.bal\

Yehouda Ashlag et son fils Baruch, rabbins spécialistes de la kabbale.
  1. Mystique juive permettant de s’approcher de Dieu par l’étude symbolique des textes sacrés.
    • « […] Comprenez-vous ? » Ici, il joignait ses gros doigts bagués, puis les écartait en soufflant dessus, comme s’il accomplissait un vieux rite. Il était très préoccupé par l’usage de certains gestes de la Kabbale, celui notamment des trois doigts étendus. — (Léon Daudet, Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/L’Entre-Deux-Guerres, Grasset, 1915, réédition Le Livre de Poche, page 212)
    • La pratique du chiffrement numérique revêt du reste une valeur mystique chez de nombreux alchimistes versés dans les mystères de la kabbale et spéculant sur les équivalences secrètes unissant les lettres de l’alphabet hébraïque, les nombres, et les mesures et proportions de l’harmonie universelle. — (Frank Greiner, Écriture et ésotérisme dans un traité alchimique de la fin de la Renaissance : Le De Alchemiae difficultatibus de Theobald de Hoghelande publié dans Réforme, Humanisme, Renaissance, 1994, page 68)
    • […] au XIII° siècle, le rabbin Moïse de Léon, auteur du « Sefer ha-Zohar », le livre des splendeurs, considéré comme l'ouvrage le plus important de la kabbale, la mystique hébraïque. — (Claire Lesegretain, « A Avila, sur les pas de Thérèse », La Croix, 4-5 juillet 2015, page 11)