« zuricho-montpelliérain » : différence entre les versions

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#* ''Dans l'approche paysagère issue de l'école '''zuricho-montpelliéraine''' de l'analyse de la végétation, trois niveaux (paliers) sont habituellement distingués : a) le niveau sérial (sigmassociation), b) le niveau caténal (géosigmassociation) et c) le niveau chorologique (territoires phytogéographiques.'' {{source|Résumé de « L'analyse du paysage végétal en symphytocœnologie : ses niveaux et leurs domaines spatiaux. » de J.P. Theurillat -1992}}
# {{par ext}} Relatif aux [[doctrine]]s de cette école.
#* ''En développant, au cours de l'entre-deux guerres, la méthode des aires minima initialement élaborée à Uppsala, l'école de «Zürich-Montpellier» a rendu possible d'importants progrès dans la mise en évidence des discontinuités de la végétation. Fondé sur le concept d'espèce caractéristique (et non sur celui, jugé trop subjectif, d'espèce dominante), le système '''zuricho-montpelliérain''' s'est rapidement imposé au plan international.'' {{source|Résumé de « La phytosociologie de Zürich-Montpellier dans l'écologie française de l'entre-deux guerres » de P. Acot -1993}}
 
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* [[Stellarietea mediae]]
 
{{clé de tri|zuricho-montpellierainzurichomontpellierain}}