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Il est facile de critiquer une tentative, fût-elle maladroite.
 
Avant de me lancer dans cette entreprise, j'ai d'abord attendu trois années dansla l'attentevenue d'un hypothétique contributeur. Après l'attente, et avant d'agir, puis je me suis posé quelques questions : existe-t-il des dictionnaires bilingues espagnol-malgache ? chinois-malgache ? indonésien-malgache ? japonais-malgache ? russe-malgache ? arabe-malgache ? swahili-malgache ? navajo-malgache ? inuktitut-malgache ? espéranto-malgache ? Pour moi, et après des années de recherche, la réponse s'avère être non. Dans ces conditions, comment peut-on -- en tant que non-spécialiste de toutes ces langues et en limitant les erreurs possibles -- créer un dictionnaire d'une langue inconnue vers sa langue maternelle, le tout en sachant que dans deux projets-frères majeurs, il y a des myriades de traductions qui ne demandent qu'à être utilisées ?
 
L'utilisation des ressources disponibles ont permis au Wiktionnaire malgache de couvrir un très grand nombre de langues : rien que dans ma base de données j'en recense près 2 250 langues et 580 000 entrées, en sachant que seules 495 langues (et près de 600 000 entrées) sont catégorisées sur le Wiktionnaire malgache. En tant que non-spécialiste, les erreurs sont inévitables : je ne cherche à faire ni un dictionnaire parfait ni un dictionnaire de langue dans chacune des langues, car je n'ai tout simplement pas le temps, et parce qu'il n'y a pas assez de sources disponibles et convergentes dans ma langue maternelle. Avec les moyens dont je dispose, j'ai d'abord fait un dictionnaire le plus complet possible en malgache. Par la suite j'ai voulu étendre la couverture aux langues étrangères, avec les conséquences que tu connais.