« enfilanthrope » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Je croyais que c'était un modèle pas fermé. Voilà le bon modèle mis.
Daahbot (discussion | contributions)
m Bot : modèle {{S}}
Ligne 10 :
#* ''Il est « en état d’érection perpétuel », prend des cours de danse chez Katherine Dunham, rencontre James Baldwin (dont il sera l’amant), joue des bongos, et drague, drague, drague, par « amour du genre humain ». C’est un « '''enfilanthrope''' ». Sur scène, il est éblouissant, capable de mimer l’amour, d’incarner le vent, de jouer la mort. Surtout de jouer la mort: c’est sa spécialité depuis qu’il est petit. Il s’en souviendra, en 1998, quand il fera courir le bruit de son décès, pour faire oublier de malencontreuses divagations antisémites...'' {{source|1=François Forestier, ''[http://www.lesprotocolesdesion.com/main.aspx?page=text&id=10&cat=cinema La vie, chez les Brando, fut un lent naufrage dans la nuit...]'' sur www.lesprotocolesdesion.com}}
#* ''J’avais retenu quelques noms connus : Audrey Beardsley et ses gravures érotiques étonnantes et James Whistler, pourtant plutôt célèbre pour sa mère en gris et noir, mais aussi connu comme dandy provocant, charmeur et kamikaze esthétique. Oscar Wilde, bien sûr, celui qu’on surnommait ironiquement “'''l’enfilanthrope'''”. D’autres, que je ne connaissais pas : de quoi faire un cocktail voluptueux face à la pudibonderie victorienne. Hélas, l’occasion fut ratée.'' {{source|1=Dominique Lacan, ''[http://www.lesparisdld.com/2011/09/morale-et-volupte-dans-l-d-wilde-au.html "Beauté, morale et volupté dans l'Angleterre d'Oscar Wilde" au musée d’Orsay ]'' sur www.lesparisdld.com, le 27 septembre 2011}}
 
 
==== {{S|synonymes}} ====
Ligne 16 ⟶ 15 :
* [[pédé]]
 
==== {{S|tradtraductions}} ====
{{trad-début}}
{{trad-fin}}