« crâne » : différence entre les versions

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#* ''Des fenêtres, là-haut, s’ouvrent, creuses et noires comme des orbites béantes dans le '''crâne''' d’un squelette.'' {{source|{{Citation/Ludovic Naudeau/La France se regarde/1931}}}}
# {{méton|fr}} [[tête|Tête]], [[cerveau]], [[pensée]].
#* ''Bob, au passage, le secoua, le fit se lever et, lui administrant sur le '''crâne''' une amicale taloche, dit en me l’amenant : […].'' {{source|{{w|Citation/Francis Carco}}, ''/Messieurs les vrais de vrai'', /1927}}}}
#* ''La respiration demeure calme, le cœur est encore bon, mais le sang lui dégouline du '''crâne''' sur le nez, dans les yeux, poisse la chemise.'' {{source|{{w|Jean Rogissart}}, ''Passantes d’Octobre'', 1958}}
#* ''[…] : avec cette chaleur, en pleine nuit, il porte sur le '''crâne''', de guingois, un Borsalino beige, […].'' {{source|Leïla Rezzoug, ''Douces errances'', p. 45, L’Harmattan, 1992}}
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# {{botanique|fr}} Nom vernaculaire de la [[vesse-loup]] ou [[lycoperdon]].
# {{argot|fr}} [[bagnard|Bagnard]] [[évadé]].
#* ''Quand j’arrivais, il m’accueillait par l’éternelle question : « T’as besoin d’un '''crâne''' ? ». Un '''crâne''', c’est un bagnard, un tondu.'' {{source|{{w|Citation/Francis Carco}}, ''/Messieurs les vrais de vrai'', /1927}}}}
 
==== {{S|expressions}} ====
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# {{vieilli|fr}} [[hardi|Hardi]], [[querelleur]].
#* ''Balmat ajouta : - Maintenant, puisqu’elle est dotée, il faut la marier ; messieurs, quel est le luron qui l’épouse ici ? – Dame ! nous ne faisions pas de '''crânes''' prétendus : personne ne se présenta, excepté Michel Terraz ; encore demanda-t-il une demi-heure.'' {{source|{{w|Alexandre Dumas}}, ''[[s:Impressions de voyage|Impressions de voyage]]'', ''{{w|La Revue des deux Mondes}}'', t. 1, 1833}}
#* ''L’ivresse se lisait dans ses yeux, une ivresse '''crâne''' et satisfaite qui lui arrachait quelquefois de gros rires.'' {{source|{{w|Citation/Francis Carco}}, ''/Messieurs les vrais de vrai'', /1927}}}}
#* ''[…] épiant avec admiration le '''crâne''' gentilhomme que sa renommée a précédé […]'' {{source|Arturo Pérez-Reverte, ''Le Tableau du maître flamand'', page 204, 1990, traduit par J.-P. Quijano, 1993, J.-C. Lattès}}