« arlequin » : différence entre les versions
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# {{term|zootechnie}} ''Synonyme de'' [[japonais]] (race de lapins).
# {{argot|fr}} {{date|1829}} [[rogaton|Rogatons]], assortiment de restes provenant de tables bourgeoises ou de grands restaurants, vendus à des consommateurs peu fortunés. {{par extension}} Plat cuisiné avec ces restes.
#* ''Voici la mère Maillard : c’est une bijoutière ou marchande d’'''arlequins'''. Je ne sais pas trop l’origine du mot bijoutier, mais l’'''arlequin''' vient de ce que ses plats sont composés de pièces et de morceaux assemblés au hasard, absolument comme l’habit du citoyen de Bergame ''. {{source|1=
#* ''On appelle '''arlequin''' de petits tas de viandes mélangées que l’on vend à la balle pour les chats, pour les chiens et pour les pauvres. Ce sont des débris recueillis sur les assiettes chez les restaurateurs et chez les riches.'' {{source|1=[[w:Eugène-François Vidocq|Eugène-François {{smcp|Vidocq}}]], ''[http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k83125z/f97 Mémoires de Vidocq, chef de la police de Sûreté, jusqu’en 1827]''}}
#* ''Elle tombait aux '''arlequins''', dans les gargotes borgnes, où, pour un sou, elle avait des tas d’arêtes de poisson mêlées à des rognures de rôti gâté''. {{source|[[w:Émile Zola|Émile {{smcp|Zola}}]], ''[[s:L’Assommoir|L’Assommoir]]'', p. 508}}
#* ''La recette de l’'''arlequin''' est un jeu d’enfant : il s’agit de réaliser une potée froide avec des ingrédients indéterminés, qui changent selon les jours, dont le mélange s’avère toujours inédit et qui donne à chaque fois une saveur différente. C’est le plat du hasard par excellence et de la nécessité par contrainte.'' {{source|1=[[w:Éric Mension-Rigau|Éric {{smcp|Mension-Rigau}}]], ''[http://pascal.tresson.over-blog.com/article-sac-a-malices-du-13-11-2013-121061934.html Historia n° 802 d’octobre 2013]''}}
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