« bleu de Sèvres » : différence entre les versions
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'''bleu de Sèvres''' {{pron|blø də sɛvʁ|fr}} {{m}}
# {{céramique|fr}} [[sur-couverte|Sur-couverte]], fabriquée à la {{w|manufacture nationale de Sèvres}} à base d’[[oxyde]] de [[cobalt]], cuite à grand-feu (au-dessus 1 200° C).
#* ''Quant au « '''bleu de Sèvres''', » ce célèbre enduit s’étend par couche au pinceau, parce qu’il se superpose à un émail déjà cuit au four.'' {{source|{{w|Georges d'Avenel}}, ''{{ws|Le Mécanisme de la Vie moderne/28|Le Mécanisme de la vie moderne. — Porcelaines et Faïences}}'', 1905, {{nobr|p. 89-115}}}}
#* ''Sur la cheminée se trouvaient deux vases en '''bleu de Sèvres''', de vieilles girandoles attachées au trumeau et une pendule dont le sujet, pris dans la dernière scène du ''Déserteur'', prouvait la vogue prodigieuse de l’œuvre de Sédaine.'' {{source|{{w|Honoré de Balzac}}, ''{{ws|La Vieille Fille|La Vieille Fille}}'', A. Houssiaux, 1874, {{nobr|p. 1-119}}}}
# {{par ext|fr}} [[couleur|Couleur]] [[bleu]]e caractéristique des [[porcelaine de Sèvres|porcelaines de Sèvres]].
#* ''Ses yeux, '''bleu de sèvres''', ricanaient dans un solide visage groseille […].'' {{source|J.-H. Rosny aîné, ''{{ws|La Vague rouge/chap.I,6.|La Vague rouge, roman de mœurs révolutionnaires}}'', Plon-Nourrit et Cie, 1910, {{nobr|p. 90-122}}}}
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