« transport » : différence entre les versions

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#* ''Le '''transport''' de ses meubles lui a coûté cher. - Le '''transport''' de ces marchandises se fait par bateau. - Payer les frais de '''transport'''. - Le '''transport''' de l’énergie électrique.''
# {{par ext}} {{b-m-cour}} La [[chose]] transportée, [[elle-même]].
#* ''Le pain était arrivé, non sans peine et sans perte: en venant à nous de Grandpré, où se trouvait la boulangerie, plusieurs chariots étaient restés embourbés, d’autres étaient tombés dans les mains de l’ennemi ; d’ailleurs une partie du '''transport''' était immangeable.'' {{source|[[w:Johann Wolfgang von Goethe|Goethe]], ''Campagne de France'', 1822 ; traduction française de Jacques Porchat, Paris : Hachette, 1889, p.page 79}}
# {{spécialement}} {{procédure|fr}} Action d’une [[personne]] qui, par [[autorité]] de [[justice]], se [[rendre|rend]], se [[transporter|transporte]] sur les [[lieu]]x où [[sont]] les [[chose]]s [[sujet]]tes à un [[examen]], à une [[vérification]], à une [[visite]].
#* '''''Transport''' d’un juge, d’un commissaire, d’un expert sur les lieux.''
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# [[mouvement|Mouvement]] [[passionné]], [[élan]] qui nous [[mettre|met]] [[en quelque sorte]] [[hors]] de [[nous-même]]s.
#* ''Il trouva le templier dans un '''transport''' de colère causé par un nouveau refus qu’il venait d’essuyer de la part de la belle juive.'' {{source|{{Citation/Walter Scott/Ivanhoé/1820}}}}
#* ''La glorieuse défense de Mazagran a excité, dans toute la France, des '''transports''' unanimes d'admiration.'' {{source|Hazlitt, ''Défense de Mazagran'', dans ''Le Magasin pittoresque'', vol.8, 1840, p.page 129}}
#* ''Gasbieha se précipita dans la chambre de sa sœur de lait avec des '''transports''' de joie.'' {{source|{{w|Out-el-Kouloub}}, ''Zaheira'', dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940}}
#* ''Aux abords de Bab Segma, toute la population du ''mellah'' nous accueillit avec des '''transports''' d’allégresse, et plusieurs orchestres israélites nous gratifièrent de l'air de « la Mère Michel », qui passait alors pour notre hymne national.'' {{source|{{w|Frédéric {{smcp|Weisgerber}}}}, ''Au seuil du Maroc Moderne'', Institut des Hautes Études Marocaines, Rabat : Les éditions de la porte, 1947, p. 269}}