« de tous côtés » : différence entre les versions

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# [[de toutes parts|De toutes parts]].
#* ''Non pas, non pas, cria-t-on '''de tous côtés''' ; il y a encore Venise. - Venise la reine des mers !'' {{source|{{w|Julie de Quérangal}}, ''[[s:Philippe de Morvelle|Philippe de Morvelle]]'', Revue des Deux Mondes, T.2,4, 1833}}
#* ''[…] ; des centaines d'embarcations affluent '''de tous côtés''', forment un immense demi-cercle autour des cétacés et les chassent vers quelque crique, où ils sont promptement massacrés.'' {{source|Jules Leclercq, ''La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla'', Paris : E. Plon & Cie, 1883, p.page 37}}
#* ''Le fait, d'ailleurs, est patent, incontesté, affirmé '''de tous côtés''' : l'aisance s'est énormément développée parmi les ruraux des Côtes-du-Nord.'' {{source|{{Citation/Ludovic Naudeau/La France se regarde/1931}}}}
# [[tout|Tout]] [[autour]].
#* ''[…], ils voulurent se rendre maîtres des deux Océans, cernant '''de tous côtés''' les tribus aborigènes […].'' {{source|{{Citation/Gustave Aimard/Les Trappeurs de l’Arkansas/1858}}}}
#* ''L’anse où nous mouillons est évidemment un ancien cratère dans l’intérieur duquel la mer a fait irruption ; '''de tous côtés''' surgissent des cônes de cendres qui dénotent une récente activité volcanique.'' {{source|Jules Leclercq, ''La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla'', Paris : E. Plon & Cie, 1883, p.page 40}}
#* ''Les pâturages, enclavés dans les bois '''de tous côtés''', sauf au levant, où des haies vives érigeaient leurs épaisses barrières épineuses, […].'' {{source|{{w|Louis Pergaud}}, ''[[s:Un satyre|Un satyre]]'', dans ''{{w|Les Rustiques, nouvelles villageoises}}'', 1921}}
 
===== {{S|note}} =====
* Sur l'usage de la forme au singulier ou au pluriel, Christian Godin, ''La Totalité'', vol. 1 : ''De l'imaginaire au symbolique'', Éditions Champ Vallon, 1998, p. 470, indique:<br>''Dans l'expression ''pour tout'', suivie d'un nom, ''tout'' signifie ''seul'', unique. On peut signifier la même chose par le singulier distributif et par le pluriel collectif, et même dans l'usage courant le singulier tend à prévaloir : « toute affaire cessante », « en tout cas », « en toute chose », « tout compte fait », « '''de tout côté''' », « de toute façon », etc. Le chassé-croisé su singulier et du pluriel paraît même induit par la notion de totalité : on peut écrire « toute sorte de bonheur », « toutes sortes de bonheurs », mais aussi « toute sorte de bonheurs ».''
 
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