« interprète » : différence entre les versions

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#* ''Les '''interprètes''' grecs de l’Ancien Testament, qu’on appelle les Septante.''
#* ''Cet auteur latin n’a pas encore trouvé de meilleur '''interprète'''.'' Dans ce sens, on dit plutôt aujourd’hui Traducteur.
# {{particulier}} [[truchement|Truchement]], celui qui traduit à une personne, surtout oralement ou par [[langue gestuelle]], dans la langue qu’elle parle, ce qui a été dit ou écrit par une autre dans une langue [[différent]]e.
#* ''Je puis en dire autant d'El-Haj Ahmed Ben-Chekron qui me sert d’'''interprète''' dans mes autres visites et qui, lui, ayant vécu en Espagne, s’exprime correctement en castillan.'' {{source|{{w|Frédéric {{smcp|Weisgerber}}}}, ''Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue'', Paris : Ernest Leroux, 1904, p. 96}}
#* ''Lorsque l’'''interprète''' me traduisit le sens général du discours, je fus émerveillé.'' {{source|{{nom w pc|Alain|Gerbault}}, ''À la poursuite du soleil''; tome 1 : ''De New-York à Tahiti'', 1929}}
#* ''[…], enfin Moussa, jeune Nigérien, bavard et sympathique. Il fera ma cuisine et me servira d’'''interprète''' dans ce pays où l'on parle le haoussa principalement et d'autres dialectes, mais non l’arabe, à part quelques chefs et quelques marabouts.'' {{source|Louis Alibert, ''Méhariste, 1917-1918'', Éditions Delmas, 1944, p. 23}}
#* ''La partie ou le témoin qui ne peuvent suivre les procédures, soit parce qu’ils ne comprennent pas ou ne parlent pas la langue employée, soit parce qu’ils sont atteints de surdité, ont droit à l’assistance d’un '''interprète'''''. {{source|''Charte canadienne des droits et libertés'', section 14}}
#* '''''Interprète''' juré,'' Celui qui est nommé par les cours ou tribunaux pour traduire oralement les débats ou les pièces versées auxlors débatsde ceux-ci.
# {{par ext}} Celui qui fait [[connaître]], qui [[éclaircir|éclaircit]] le sens d’un auteur, d’un [[discourir|discours]].
#* ''En vain donc ces dangereux '''interprètes''' nous crient que le gros des Pères n’a jamais examiné critiquement, le vrai ou le faux des explications littérales de la Bible ; qu’aussi la Tradition varie fort sur cela ; […].'' {{source|Père Ignace de {{smcp|Laubrussel}}, ''Traité des Abus de la Critique en Matière de Religion'', Paris : Grégoire du Puis, 1711, vol. 2, p. 135}}