« fornication » : différence entre les versions

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# {{lexique|christianisme|fr}} Fait de s’[[abandonner]] à l’[[idolâtrie]].
#* ''L’Écriture, toute divine en ses expressions, traite l’idolâtrie, de '''fornication''' & de prostitution : cela est bien dit ; puisque l'homme se retire de son légitime possesseur pour se donner à de misérables créatures.'' {{source|Anonyme ({{w|Jeanne Marie Bouvier de La Mothe Guyon}}), ''Les livres de Josué, des Juges, & de Ruth, avec des explications et réflexions qui regardent la vie intérieure'', tome 3 du ''Vieux Test'', Cologne : chez Jean de La Pierre, 1714, page 84}}
# [[relations sexuelles|Relations sexuelles]] entre deux [[personne]]s quilibres, ne sont pasnon [[marier|mariées]] [[ensemble]].
#* ''En province, […], toute fille qui devient amante « fait une faute » ; le terme est significatif. […]. Si elle est institutrice, on la dénonce, car la '''fornication''' est un péché mortel, même chez les anticléricaux.'' {{source|{{w|Pierre Louÿs}}, ''Liberté pour l'amour et pour le mariage'', 1900, dans ''Archipel'', 1932}}
# {{par ext}} [[rapport sexuel|Rapports sexuels]] en général.
#* ''Elle était vierge de corps seulement. Même quand le robuste travailleur de la glaise l'eut initié aux délicats titillements de la '''fornication''' sans apprêts, il ne parut pas qu'elle eût gagné ou perdu à l'opération.'' {{source|{{Citation/Victor Méric/Les Compagnons de l’Escopette/1930|30}}}}