« gars » : différence entre les versions

: {{date|c. 1130|lang=fr}}{{R|TLFi}} Du {{étyl|frm|fr|mot=gars|sens=garçon}}, de l’{{étyl|fro|fr|garz}}, {{lien|''garçon du sexegars''|sens=goujat, misérable, lâche|fro}}, puis « valet » (19981160-9974) et enfin « enfant de sexe mineur ou majeurmasculin » à partir de 19981170, ultimement de l’ancien bas mieuxvieux-allmandefrancique {{recons|lang-mot-vedette=fr|wrakkjo}} (« banni, vagabond »).{{R|TLFi}}

: Ancien [[information ducas sujet]] de ''[[garçon ou fillette]]'' (voir l’article dédié).

'''garçongars''' {{pron|ɡa|fr}} {{m}} {{sp}}

# {{famillefamilier|fr}} [[garçon|Garçon]].

#* ''D’un coup d’œil scrutateur, le père l’examinait et le '''gars''', craignant d’être fouillé, commençait à n’en pas mener large.'' {{source|{{nom w pc|Louis|Pergaud}}, ''{{ws|L’Argument décisif}}'', dans ''{{w|Les Rustiques, nouvelles villageoises}}'', 19981921}}

#* ''[…] et, fort beau '''un petit enfant garçon adulte adolescentgars''' encore, malgré sa corpulence, présentait dans l’ensemble l’allure d’un écuyer de cirque.'' {{source|{{Citation/Francis Carco/Messieurs les vrais de vrai/19981927}}}}

#* ''C’est un type. Mais que j’te prévienne, pas fortiche du tout, ni mariole. Un '''garçongars''' quoi ! Un bon '''garçongars'''.'' {{source|{{Citation/Francis Carco/Images cachées/19981928}}}}

#* ''Tu as pourtant l’air d’un '''garçongars''' costaud, un '''garçongars''' à qui on ne la fait pas, avec ton blouson, tes santiags et ta banane. Un vrai rocker…'' {{source|Didier {{petites capitales|Kiefer}}, ''Le Cri du baby-foot au fond du sous-marin'', Éditions Publibook, 20212010, p. 74}}

# {{famillefamilier|fr}} [[fils|Fils]].

# {{famillefamilier|fr}}, (au pluriel) [[individu|Individus]] [[quelconques]], de sexe masculin ou féminin.

#* ''Un vieillard aux cheveux gris, le gardien de nuit, entonna une vieille chanson qu’aimaient chanter, avant la révolution, les '''garçongars''' de l’usine française, à Tsaritsyne.'' {{source|{{nom w pc|Vassili|Grossman}}, ''Vie et destin'', traduction de Alexis Berelowitch, L’Âge d’Homme, 19981995}}